To be or not to be
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Posted:Sep 20, 2016 10:28 am
Last Updated:Oct 24, 2017 9:18 am
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Le célèbre monologue d’Hamlet, maintes fois détourné….
Hêtre ou nœud pas hêtre
Tapis or not tapis
Hobbie or not hobbie
Toupie or not toupie
Zobie or not zobie
Pipi or not pipi
Toubib or not toubib
Teepee or not teepee
Hippie or not hippie
Le monologue d’Hamlet traduit par Jean-Michel Ribes
Être, ou ne pas être Là est toute la question. Y a-t-il plus de noblesse à souffrir les coups, les heurts Les outrages d’une destinée désinvolte Qu’à prendre les armes contre cet océan de douleurs Et y mettre fin d’une définitive révolte ? Mourir Dormir, rien de plus. Et, par le sommeil sonner le glas Des maux du cœur et des mille chocs reçus Qui de la chair palpitante sont le lourd héritage. Voilà bien un dénouement dont on aurait un fervent désir. Mourir, dormir Dormir… Rêver peut-être ? Ha, là donc plonge ses racines tout le mal. A la pensée que dans un sommeil ultime Où de nos oripeaux mortels nous trouverions enfin dépouillés, De cruels songes encore sauraient nous agonir, Tout en nous subitement se fige, et à notre désastre immense Faisons l’offrande d’une existence qui trop se prolonge. Car qui oserait subir le fouet du temps et ses injures, Les avanies de l’oppresseur, le mépris des puissants, De l’amour contrarié les infinies douleurs, Du pouvoir les insolences, de la loi les lenteurs, Et à l’effort méritant infligées Les rebuffades d’hommes indignes, S’il pouvait en être seulement quitte d’un coeur poignardé ? Qui consentirait à ployer sous fardeau, A grogner et suer sur le fil d’une vie accablée, Si la crainte de quelque chose après la mort, Contrée inexplorée d’où nul voyageur ne revient, Ne troublait sa volonté Jusqu’à finalement préférer endurer des tourments qu’il connait Que s’élancer vers tant d’autres qu’il ignore ? Ainsi la conscience accouche en nous le poltron, De sorte que les couleurs vives de la résolution qui se lève Blêmissent devant les noirs reflets de la pensée. Et le dessein le plus sublime Au lit de la rêverie se couche Et, enfin, de l’action porte le deuil. …..
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Securite
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Posted:Sep 10, 2016 11:22 pm
Last Updated:Oct 24, 2017 9:08 am
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Pour tous ceux qui, comme moi, vont devoir travailler aujourd'hui : respectez bien les consignes de sécurité
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Pourquoi j_aime tant le prelude op 28 n_4 de Chopin
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Posted:Sep 8, 2016 12:33 pm
Last Updated:Oct 24, 2017 9:04 am
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Elle sentait si bon et je me sentais si bien la tête enfouie dans sa toison peu fournie, un peu compressée entre ses cuisses pâles, moelleuses. Heureusement, le Steinway, à queue, lui aussi, offrait un espace suffisant pour que je me loge sous le meuble. Ça n’était pas aisé de ne pas gêner ses mouvements de jambes sur les pédales de l’instrument mais j’y parvenais la plupart du temps.
Le but du jeu était qu’elle n’atteigne pas le terme de ce prélude, j’avais deux minutes quarante-cinq secondes pour y parvenir…
Mais j’avais un superbe atout dans ma manche, elle adorait jouer du piano, y mettait beaucoup de sensibilité, mais, force était de constater, qu’elle préférait aux émotions musicales les ivresses de la luxure. Rien que l’idée de notre petit jeu suffisait à la faire mouiller. Il me fallait alors simplement lui faire monter quelques barreaux dans l’échelle du plaisir pour qu’elle lâche le clavier, les pédales et qu’elle écarte largement les cuisses me laissant alors toute latitude pour l’amener au paroxysme de la jouissance. Le prélude se terminait alors, avant terme, par quelques notes que Frédéric Chopin n’aurait pas cautionnées. Le timbre du piano remplacé par celui d’une voix féminine, plus de partition, une improvisation moins mélodique, certes, mais de la rythmique tout de même, et ces aigües syncopés sonnaient à mes oreilles comme une symphonie sublime.
Ne croyez pas que l’exercice était aisé et que j’y parvenais à chaque fois, il me fallait être concentré sur le maniement de ma langue, un mental de warrior avec la certitude de parvenir à mon but sans pour cela passer en force, ténacité, souplesse et attention aux réactions de ma belle pianiste.
Elle me promettait régulièrement de me rendre la pareille lorsque je saurais suffisamment bien interpréter ce prélude op.28 n°4 de Chopin. Je suis, pour mon malheur, exceptionnellement peu doué pour le piano….
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Frederic Chopin_Prelude op 28 n_4
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Posted:Sep 8, 2016 10:01 am
Last Updated:Mar 16, 2020 3:05 pm
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Que je l’aime ce prélude.
Air triste qui laisse comme un goût de Sand au fond de la Georges.
Je vous l’aurais bien fait écouter mais pas de sur Polyamory Date, il me faudrait bloguer sur un site qu’a le , c'est plutôt un site sans caleçon ici.
Les fâcheux insinuent que Chopin composait sous l’emprise de la chopine, si j’en chope un, je lui fais passer le goût du pain chaud.
Chaud lapin, Chopin ? Chaud de la pine, Chopin ? Ch’sais pas et peu me chaut !
Chapeau Chopin !
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Pensées du jour
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Posted:Sep 4, 2016 1:03 am
Last Updated:Jun 2, 2019 5:07 am
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Arts : Je ne supporte pas les personnes qui se la jouent « cultivées », qui, par exemple, parlent du « Grand Mozart » sans avoir jamais vu aucun de ses tableaux.
Beethoven était tellement sourd qu’il a cru toute sa vie qu’il était peintre.
Santé : Communiqué du Ministère de la santé N’avalez plus vos chewing-gums !
Pas toujours facile de trouver à se garer !
Évènements : Aujourd’hui, je mange du gâteau parce que c’est l’anniversaire de quelqu’un, quelque part.
Vie familiale : Dernières statistiques : le taux de divorce ne cesse d’augmenter chez les chaussettes !
Il pleut, mes enfants regardent désespérément par la fenêtre, ils me font de la peine, je crois que je vais les laisser entrer !
International : Les guerres et leurs victimes
Les famines
Finançes : Pourquoi, dans les banques, ils attachent leurs stylos ? On leur fait confiance pour notre argent, ils ne nous font pas confiance pour un stylo !
Tant que mon patron fera semblant de me payer, je ferai semblant de travailler.
Zoologie : Si les oiseaux se cachent pour mourir, force est de constater qu’ils sont sacrément moins pudiques quand il s’agit de chier !
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Jurons, injures et autres insultes
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Posted:Aug 25, 2016 12:17 pm
Last Updated:Jul 2, 2020 10:27 pm
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Ah, qu’il est libérateur parfois de se lâcher, d’invectiver, il suffit de regarder les cams de ces gentes dames pour voir que certains adorent le terme de « salope » par exemple. Ce mot viendrait de « sale huppe », en effet ce bel oiseau a la réputation d’être sale car il utilise ses excréments pour confectionner nid.
Mais pourquoi ne pas oser d’autres termes, certes désuets mais si pittoresques ? Dans un esprit confraternel, permettez-moi de vous proposer les termes suivant qui eurent oncques leurs heures de gloire : « Coureuse de rempart », « Puterelle », « Ribaude », « Gourgandine », « Vieux ragout de matrice », « Fot-en-cul », « Pisse-froid », « Fesse-Matthieu », « Abatteur de quilles », « Marpaud », « Salisson ». (Dico des injures oubliées – Sabine Duhamel – Librio)
Osez les néologismes : « Orchidoclaste (casse-couilles) », « Nodocéphale (tête de nœud) », « Alvéopyge (trou du cul) », « Paleobovinoderme (vieille peau de vache) », « Coprolithe (merde fossile) », « Alburostre (blanc-bec) » ; avouez que ça a de la gueule ! (site de la langue xyloglotte)
Bon, il y a aussi des injures plus obscures, sans doutes des expressions locales ….
Certains ne semblent pas très créatifs en la matière ….
Mais il n’est pas toujours utile de parler pour proférer de jolies injures ….
Un cas particuliers, injure pour amateurs de scrabble anglophone ….
Et enfin, place au roi du genre, je suis sûr que ça fera plaisir à certain(e)s d’entre vous ….
Et vous, comment manifestez-vous votre courroux en société ? ....
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Soir d_ablutions
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Posted:Aug 21, 2016 12:27 am
Last Updated:Oct 24, 2017 8:15 am
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Épisode 1 Soir de tempete
Épisode 2 Soir de fete
Épisode 3 Soir de nostalgie
Épisode 4 Soir d_eclaircie
Épisode 5 Soir d_extase
Brigitte a trouvé ce carnet et s’est mise à le lire. Quand elle me l’a rendu, grand sourire aux lèvres et regard brillant, elle m’a simplement dit qu’elle espérait que je trouve rapidement l’inspiration pour écrire d’autres chapitres de notre vie commune et qu’elle ferait possible pour que cela arrive vite.
L’occasion se présenta le lendemain soir….
Il avait plu pendant trois jours, le réservoir que nous avions installé sur le toit était plein, nous n’osions pas boire cette eau chargée, sans doute, de particules atmosphériques délétères, nous la réservions à l’arrosage du potager. C’est alors que Grégoire proposa de fabriquer une douche, cette idée fut immédiatement adoptée avec enthousiasme et, le soir venu, c’était chose faite, une douche sommaire, pomme fixe et bac, occupait maintenant un angle de la pièce principale.
Comme Antoine proposait de tirer au sort pour savoir qui allait l’inaugurer, je proposais que ce soit Brigitte qui l’utilise la première, bien évidemment, cette idée fut accueillie avec joie par tous et tout particulièrement par l’intéressée. Nous avions, pour l’occasion, disposé tout autour l’ensemble des bougies et lampes à pétrole dont nous disposions, la douche était baignée d’une douce et chaude lumière jaune.
Lorsque Brigitte commença à se déshabiller, nous étions tous confortablement assis, formant un quart de cercle autour de l’angle de la pièce où trônait l’installation. L’eau ruisselait sur le corps de Brigitte, le jet, peu puissant, l’obligeant à se contorsionner pour lui permettre d’être entièrement mouillée, elle le faisant avec volupté et sensualité, tournant lentement sur elle-même afin que nous puissions admirer ses seins lorsqu’elle bombait le torse, superbe cul quand elle se penchait en avant. Un sourire narquois sur les lèvres, elle nous fixait tour à tour, un à un de ses yeux moqueurs. Elle se caressait, maintenant, nappant tout corps d’une mousse de savon blanche, insistant particulièrement sur les seins, les fesses, le sexe, faisant en sorte que nous ne perdions rien de cette scène d’une torride sensualité. Alors que la mousse était presqu’entièrement chassée de corps par le faible jet d'eau, Brigitte poursuivait rinçage méticuleux, elle avait les jambes écartées, une main sur un sein puis sur l’autre, les doigts de l’autre main perdus dans les poils du pubis, elle ne souriait plus, ses paupières closes indiquant la profondeur de sa concentration intérieure.
Antoine se leva et se déshabilla, sa belle érection en disait long sur émotion, il se mit à genou et colla sa bouche contre le sexe de Brigitte. Elle se cambrait, petits mouvements du bassin d’avant en arrière. La langue d’Antoine, bien à plat, explorait ces roses vallées, descendait puis remontait, insistant un peu au sommet de mouvement, puis s’aida de deux doigts pour parfaire le massage, interne et externe, s’attardant par endroits, guidé par les petits soupirs de Brigitte.
Grégoire, nu lui aussi, caressait maintenant fermement les magnifiques fesses de Brigitte, marquant d’un doigt souple le sillon les séparant. Brigitte se pencha en avant, offrant sa croupe. Antoine ne lâcha pas ses prises buccale et digitale, suivant tant bien que mal le mouvement, même lorsqu’arrachant un petit cri à la belle naïade, Grégoire fit disparaître, d’un coup sec, sexe entre les hémisphères charnus. Les gémissements de Brigitte, plus aigus maintenant, ses petits mouvements du bassin montraient clairement que la jouissance était proche et il ne fallu que quelques instants pour que la crispation de tous les muscles de corps et le cri qui vida tout l’air de ses poumons indique le paroxysme extatique.
Je lâchais alors mon sexe, maintenant poisseux……
Suite Soir de jardinage …..
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Chaleurs
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Posted:Aug 13, 2016 7:50 am
Last Updated:Oct 24, 2017 8:11 am
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Peu me chaut ce soleil ses brûlures de chaux vive Ni les show les exhib des onanistes lascives Envies de fluides chauds vives coulées expansives Les chaleurs qu’il me faut naiss’nt des mélanges des salives Besoin de peau à peau canicules plus primitives L’éclat éblouissant des crudités instinctives Soumis au Ça ardentes pulsions répétitives Rutilants soldats du feu sus aux incendies estives Et la lance et les grand’s eaux noyons les braises vives Des éruptions enfouies par nos fluidités jouissives.
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