Dans la rue, la nuit, nous rentrons.
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Posted:Dec 14, 2016 7:31 am
Last Updated:Sep 20, 2017 8:33 am
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Nous avons passé la soirée chez des amis.
Nous avons un peu trop bu mais comme nous rentrons à pied, à part le tapage nocturne, on ne risque trop rien... Ou peut-être...
Tu marches d'un pas mal assuré à côté de moi, moi aussi. Alors pour ne pas tomber nous nous serrons l'un contre l'autre.
Ton bras enserre ma taille et ma main se glisse entre ton jean et ta culotte où je peux sentir ton petit cul s'agiter en marchant.
Je la descends encore un peu et je commence à sentir au bout de mes doigts l'humidité chaude de ton désir. C'est vrai que je t'avais un peu excitée chez nos amis, derrière la porte de la cuisine, en descendant ton jean et en plaquant ma bouche sur ta chatte qui est vite venue à mouiller. Tu as essayé de m'en empêcher en me rappelant que n'importe qui pouvait entrer sans prévenir. Ça m'a motivé à te lécher encore plus. Tu as mis tes mains sur ma tête pour la retirer mais ton corps disait le contraire. Puis on a entendu des pas, je t'ai laissée plaquée contre le mur, faisant mine de goûter un plat sur le plan de travail pendant que tu essayais sans succès d'avoir l'air naturel en remontant ton jean. La personne est entrée, t'a vu finir de le resserrer, ton air gêné lui a fait deviner ce que nous faisions. Je t'ai lancé un sourire complice et ai donné un baiser tendre sur tes lèvres.
Mais je te devais bien ça, tu m'avais allumé en me disant à deux reprises que tu avais envie de me sucer pendant la soirée, et que tu voulais que je te saute.
Il fait sombre dans cette rue, je me retourne et ne vois personne, je te chuchote que je sens ta culotte toute mouillée, tu as peut-être même un peu fait pipi dedans parce que tu refusais d'entrer dans leur toilettes en soupçonnant ce pervers de David d'y avoir installé une webcam.
J'enfonce encore plus ma main dans ton jean, et là je suis sûr que tu es mouillée d'envie, je glisse mon index sous ta culotte et je sens ton clito durcir sous mon doigt. Tout en continuant de marcher paresseusement, je desserre ta ceinture pour faciliter mes mouvements, tu n'opposes aucune résistance, alors je plaque ma main entière sur ta chatte, je l'imprègne de toi, je la ressors, la mets sous mon nez et inspire ton envie.
J'ouvre une porte cochère et y pousse ma petite femme.
Tu te laisses faire.
Je descends ton jean sur tes mollets, je soulève le long pull qui cachait le haut de tes cuisses et je glisse mes mains sur ta taille, je caresse ton dos, je descends sur ton petit cul, je le presse contre moi, je glisse ma main sur ta chatte pour encore la sentir trempée.
Ta culotte est trempée de toi, je la descends aussi.
Je bande comme un fou, ton corps sous mes mains me stimule, ta façon de t'offrir me stimule, ton envie me stimule, tes mains qui courent sur mon jean et qui caressent ma bite au travers me stimulent...
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